par La chambre de Samuel n'a rien d'extraodinaire. C'est une chambre simple, sans prétentions, sans exagérations.
A l'image de son occupant, elle n'est ni trop grande, ni trop petite. Elle offre au jeune homme tout l'espace dont il a besoin. Sa chambre est sa pièce personnelle, celle qui ne ressemble à aucune autre et qui lui est attachée. Il la voulait rassurante et chaleureuse. S'il avait besoin de s'évader, il avait toujours la possibilité de s'assoir sur le rebord de sa fenêtre dépourvue de rideaux, qui donnait sur la rue. Sur ce monde qu'il n'avait pas encore pu visiter et qui lui paraissait à la fois si hostile et si attirant.
Le sol de la chambre est fait de parquet clair, sur lequel rien ne traîne. Samuel est quelque peu maniaque sur les bords... Il déteste voir sa chambre dérangée. Sur la droite se trouve son lit, en bois clair également, à la couverture toujours tirée sur laquelle repose un coussin bien rembouré. Au dessus de la tête de lit, sur le mur vert anis, sont accrochées quelques photos de Julian entourés de ses Orphelins, mélangées à des affiches représentant des espaces ouverts et immenses, des paysages lointains et exotiques. Les regarder donne à Samuel l'impression d'être ailleurs. A droite du lit se trouve une petite table de chevet taillée dans le même bois, sur laquelle repose une lampe de chevet et un réveil.
Au pied du lit, un petit pouf blanc est installé, collé contre une étagère pleine de livres. De livres de toutes sortes : des romans, des essais, des recueils, et même un ou deux manuels. Samuel passe beaucoup de temps assis là à lire tout ce qui lui tombe sous la main. Se trouvent là également, intercalées entre le pouf et le mur, une chaîne et sa collection de CD (de rock, of course). A côté de cette bibliothèque se trouve une porte, toujours fermées, qui donne sur la salle de bain. Un lieu où le jeune homme passe le moins de temps possible. Aussi, faisons-en une description rapide. Tout est en carrelage, blanc pour le sol, bleu pour les murs. Il y a une large douche, des toilettes, ainsi qu'un évier surmonté d'un large miroire. Une petite lucarne apporte un peu de lumière à la pièce, dont la luminosité est complétée par une lampe. Revenons à la chambre.
Sur le mur, à quelques pas de cette porte, se trouve la seule fenêtre de la pièce, assez grande pour lui fournir toute la lumière nécessaire. Il y a un petit renfoncement dans le mur, sur lequel sont disposés un ou deux coussins, et où Sam s'assoit pour lire, pour admirer l'extérieur, ou encore pour faire ses devoirs. Le reste de ce mur est vierge, que ce soit de meubles ou de décorations. Tout ce qui reste des affaires du garçon est entassé dans le coin opposé de la pièce, en face du lit. Décrivons en partant de la porte d'entrée. Il y a là une armoire, abritant les vêtements du jeune homme, mais également une boîte de friandises destinées à Cunnilingus, ce petit hamster dont Samuel aime avoir la visite.
Un peu plus loin se tient son bureau. Ou ce qui était, à l'origine, un bureau. Samuel l'a depuis quelques années transformé en atelier. Un peu comme celui que Julian a sous les toits, en mois élaboré, bien sûr. Cet endroit est le seul où le fouillis règne. Des pièces enn tous genres, des horloges démontées, remontées, des ustensiles faits maisons et autres bizarreries traînent là. Samuel souhaitant suivre les traces de Julian, il s'entraîne au bricolage, et bidouille à peu près tout ce qui est bidouillable. Il a acquérit beaucoup de dextérité, avec le temps et l'entraînement. Cet endroit croulant sous le bazare, il est impossible d'y faire ses devoirs, que Samuel préfère de toutes façon faire à même le sol ou sur son rebord de fenêtre. C'est également sur ce bureau, ou à son pied, qu'il dispose de temps à autre quelques graine pour son hamster favoris (d'accord d'accord, il n'y en a qu'un, mais ça n'empêche), le reste de la pièce étant trop impeccable pour qu'il se résolve à y poser de la nourriture. Au dessus du bureau est accrochée une photo de Julian, seul cette fois, ainsi que des photo de divers trucs et machines.
A l'image de son occupant, elle n'est ni trop grande, ni trop petite. Elle offre au jeune homme tout l'espace dont il a besoin. Sa chambre est sa pièce personnelle, celle qui ne ressemble à aucune autre et qui lui est attachée. Il la voulait rassurante et chaleureuse. S'il avait besoin de s'évader, il avait toujours la possibilité de s'assoir sur le rebord de sa fenêtre dépourvue de rideaux, qui donnait sur la rue. Sur ce monde qu'il n'avait pas encore pu visiter et qui lui paraissait à la fois si hostile et si attirant.
Le sol de la chambre est fait de parquet clair, sur lequel rien ne traîne. Samuel est quelque peu maniaque sur les bords... Il déteste voir sa chambre dérangée. Sur la droite se trouve son lit, en bois clair également, à la couverture toujours tirée sur laquelle repose un coussin bien rembouré. Au dessus de la tête de lit, sur le mur vert anis, sont accrochées quelques photos de Julian entourés de ses Orphelins, mélangées à des affiches représentant des espaces ouverts et immenses, des paysages lointains et exotiques. Les regarder donne à Samuel l'impression d'être ailleurs. A droite du lit se trouve une petite table de chevet taillée dans le même bois, sur laquelle repose une lampe de chevet et un réveil.
Au pied du lit, un petit pouf blanc est installé, collé contre une étagère pleine de livres. De livres de toutes sortes : des romans, des essais, des recueils, et même un ou deux manuels. Samuel passe beaucoup de temps assis là à lire tout ce qui lui tombe sous la main. Se trouvent là également, intercalées entre le pouf et le mur, une chaîne et sa collection de CD (de rock, of course). A côté de cette bibliothèque se trouve une porte, toujours fermées, qui donne sur la salle de bain. Un lieu où le jeune homme passe le moins de temps possible. Aussi, faisons-en une description rapide. Tout est en carrelage, blanc pour le sol, bleu pour les murs. Il y a une large douche, des toilettes, ainsi qu'un évier surmonté d'un large miroire. Une petite lucarne apporte un peu de lumière à la pièce, dont la luminosité est complétée par une lampe. Revenons à la chambre.
Sur le mur, à quelques pas de cette porte, se trouve la seule fenêtre de la pièce, assez grande pour lui fournir toute la lumière nécessaire. Il y a un petit renfoncement dans le mur, sur lequel sont disposés un ou deux coussins, et où Sam s'assoit pour lire, pour admirer l'extérieur, ou encore pour faire ses devoirs. Le reste de ce mur est vierge, que ce soit de meubles ou de décorations. Tout ce qui reste des affaires du garçon est entassé dans le coin opposé de la pièce, en face du lit. Décrivons en partant de la porte d'entrée. Il y a là une armoire, abritant les vêtements du jeune homme, mais également une boîte de friandises destinées à Cunnilingus, ce petit hamster dont Samuel aime avoir la visite.
Un peu plus loin se tient son bureau. Ou ce qui était, à l'origine, un bureau. Samuel l'a depuis quelques années transformé en atelier. Un peu comme celui que Julian a sous les toits, en mois élaboré, bien sûr. Cet endroit est le seul où le fouillis règne. Des pièces enn tous genres, des horloges démontées, remontées, des ustensiles faits maisons et autres bizarreries traînent là. Samuel souhaitant suivre les traces de Julian, il s'entraîne au bricolage, et bidouille à peu près tout ce qui est bidouillable. Il a acquérit beaucoup de dextérité, avec le temps et l'entraînement. Cet endroit croulant sous le bazare, il est impossible d'y faire ses devoirs, que Samuel préfère de toutes façon faire à même le sol ou sur son rebord de fenêtre. C'est également sur ce bureau, ou à son pied, qu'il dispose de temps à autre quelques graine pour son hamster favoris (d'accord d'accord, il n'y en a qu'un, mais ça n'empêche), le reste de la pièce étant trop impeccable pour qu'il se résolve à y poser de la nourriture. Au dessus du bureau est accrochée une photo de Julian, seul cette fois, ainsi que des photo de divers trucs et machines.