Un soleil incertain se levait sur Edimbourg. Il devait être sept heures du matin, et la ville commençait à se réveiller...
Elisa était réveillée depuis quelque temps. Elle avait sorti de sous son matelas son paquet de gateaux au chocolat, afin de grignoter sans faire de bruits et ne réveiller personne, et jouait plsu avec les biscuits que ne les mangeait. Elisa n'avait pas très très faim ce matin. Elle n'avait jamais très faim ces temps-ci de toute façon.
La jeune fille décida de se lever tout doucement et d'aller regarder par la fenètre. Ses deux petits pieds nus sur le sol glacé firent frissonés tout son être, et aurait même fait trembler son ombre, si elle n'était pas dans le labo du Docteur. La petite blonde se mit alors à sautiller de son lit jusqu'à la fenètre, pour oublier le froid et faire tomber les dernières étoiles de sommeil de ses grands yeux.
Arrivée devant la fenètre, elle tira délicatement le rideau, ouvrit les carreaux et s'accouda à la rembarde, la menton posé sur ses mains jointes. Il y avait un petit rayon de soleil qui se réverberait sur les vitraux de l'église avant d etoucher les gens qui s'agglutinaient devant pour aller à la messe. A cet instant Elisa comprit qu'on était Dimanche, qu'elle n'irait pas à l'université aujourd'hui. Tant pis ou tant mieux.
Elle resta quelques minutes à contemplait Edimbourg en se remémorant un poème d'un français qu'elle aimait beaucoup. Boris Vian. D'après Julian c'était "un grand cynique", Elisa le trouvait surtout très drôle.
"Il y a du soleil dans la rue. J'aime le Soleil mais j'aime pas la rue."
Elle se mit à la répéter de plus en plus fort, en riant. Elle finit même par le crier, et quelques vieilles personnes levèrent la tête et lui firent un signe, même s'ils n'avaient surement rien compris...
Puis un coup de vent fit tomber le petit vase bleu sur son bureau. Elisa jetta un torchon sur l'eau et els bout d everre, apr flemme de nettoyer et ramassa les quelques fleurs avant de les jetter par la fenètre en rigolant. Elle referma la fenètre pour éviter d'autres catastrophes et retourna se coucher. Parce qu'il était un peu tôt pour un dimanche matin, tout de même.
Elisa était réveillée depuis quelque temps. Elle avait sorti de sous son matelas son paquet de gateaux au chocolat, afin de grignoter sans faire de bruits et ne réveiller personne, et jouait plsu avec les biscuits que ne les mangeait. Elisa n'avait pas très très faim ce matin. Elle n'avait jamais très faim ces temps-ci de toute façon.
La jeune fille décida de se lever tout doucement et d'aller regarder par la fenètre. Ses deux petits pieds nus sur le sol glacé firent frissonés tout son être, et aurait même fait trembler son ombre, si elle n'était pas dans le labo du Docteur. La petite blonde se mit alors à sautiller de son lit jusqu'à la fenètre, pour oublier le froid et faire tomber les dernières étoiles de sommeil de ses grands yeux.
Arrivée devant la fenètre, elle tira délicatement le rideau, ouvrit les carreaux et s'accouda à la rembarde, la menton posé sur ses mains jointes. Il y avait un petit rayon de soleil qui se réverberait sur les vitraux de l'église avant d etoucher les gens qui s'agglutinaient devant pour aller à la messe. A cet instant Elisa comprit qu'on était Dimanche, qu'elle n'irait pas à l'université aujourd'hui. Tant pis ou tant mieux.
Elle resta quelques minutes à contemplait Edimbourg en se remémorant un poème d'un français qu'elle aimait beaucoup. Boris Vian. D'après Julian c'était "un grand cynique", Elisa le trouvait surtout très drôle.
"Il y a du soleil dans la rue. J'aime le Soleil mais j'aime pas la rue."
Elle se mit à la répéter de plus en plus fort, en riant. Elle finit même par le crier, et quelques vieilles personnes levèrent la tête et lui firent un signe, même s'ils n'avaient surement rien compris...
Puis un coup de vent fit tomber le petit vase bleu sur son bureau. Elisa jetta un torchon sur l'eau et els bout d everre, apr flemme de nettoyer et ramassa les quelques fleurs avant de les jetter par la fenètre en rigolant. Elle referma la fenètre pour éviter d'autres catastrophes et retourna se coucher. Parce qu'il était un peu tôt pour un dimanche matin, tout de même.