Un soleil incertain se levait sur Edimbourg. Il devait être sept heures du matin, et la ville commençait à se réveiller. Tandis que certaines personnes se réveillent et se préparent pour une dure et longue journée, un jeune homme est début depuis déjà deux heures. Il est dans sa chambre, dans la villa de Julian, la personne qui l'héberge depuis bien de années. Le jeune homme est en question s'appellait Kurt Van der Beck. Il ne savait que faire. Sa chambre était meublé de son ordinateur, celui-ci posé sur un bureau. Kurt avait l'habitude d'y faire ses devoirs, quand il en avait.
Il souleva un pan du rideau. Le soleil se levait tranquillement. Ses journées se ressemblaient toutes. Le soleil se levait entre six heures et sept heure et demi, puis il continuait de monter jusqu'à midi. Là, il y restait pendant des heures, puis il recommençait à redescendre. Tout ça tous les jours.
Kurt ne loupait jamais le levé du soleil, si cela lui arrivait, il le regardait se coucher. C'était un petit train de vie. Parfois, il était jaloux de ce Soleil. Comment pouvait-il être jaloux ? Il sortit de sa chambre. Il avait envie de manger, il chercha ce qu'il pourrait manger. Les aliments habituelles, ils se présentaient souvent sous forme de triangle, cercle, carré ou autres formes. Kurt entra la cuisine. Comme il le pensait, il la trouva vide. C'était un week-end, donc aucune bizzarerie à trouver la cuisine vide. Il sortit un bol, une brique d'un litre de lait et un paquet de gâteaux carrés. Il remplit le bol de lait et lâcha des carrés dans le liquide. Il rangea ses affaires, c'est à dire le lait ainsi que la boite de gâteau, le temps que les gâteaux s'imbibent de lait. Kurt sortit une cuiller d'un tirroir et la plongea dans le bol en s'asseyant.
Tous les jours, il faisait la même chose. C'était un rituel. Il n'en mourrait pas si il jamais il ne pouvait pas manger ses gâteaux dans du lait, bien sûr mais c'était une habitude qu'il avait. Kurt poussa un soupir. Le silence de la cuisine le pesait. Il prit un poste radio et le posa à côté de son bol sur la table. Il appuya sur un bouton et entendit une chanson des années 80.
Kurt commença et finit son petit-déjeuner en quelques minutes. Il lava sa vaisselle puis remonta dans sa chambre. Il se laissa tomber sur le lit et ferma les yeux, essayant de voir à quoi sa vie ressemblerait sans sa particularité, comme disait les autres. Il sombra dans un profond sommeil...
Il souleva un pan du rideau. Le soleil se levait tranquillement. Ses journées se ressemblaient toutes. Le soleil se levait entre six heures et sept heure et demi, puis il continuait de monter jusqu'à midi. Là, il y restait pendant des heures, puis il recommençait à redescendre. Tout ça tous les jours.
Kurt ne loupait jamais le levé du soleil, si cela lui arrivait, il le regardait se coucher. C'était un petit train de vie. Parfois, il était jaloux de ce Soleil. Comment pouvait-il être jaloux ? Il sortit de sa chambre. Il avait envie de manger, il chercha ce qu'il pourrait manger. Les aliments habituelles, ils se présentaient souvent sous forme de triangle, cercle, carré ou autres formes. Kurt entra la cuisine. Comme il le pensait, il la trouva vide. C'était un week-end, donc aucune bizzarerie à trouver la cuisine vide. Il sortit un bol, une brique d'un litre de lait et un paquet de gâteaux carrés. Il remplit le bol de lait et lâcha des carrés dans le liquide. Il rangea ses affaires, c'est à dire le lait ainsi que la boite de gâteau, le temps que les gâteaux s'imbibent de lait. Kurt sortit une cuiller d'un tirroir et la plongea dans le bol en s'asseyant.
Tous les jours, il faisait la même chose. C'était un rituel. Il n'en mourrait pas si il jamais il ne pouvait pas manger ses gâteaux dans du lait, bien sûr mais c'était une habitude qu'il avait. Kurt poussa un soupir. Le silence de la cuisine le pesait. Il prit un poste radio et le posa à côté de son bol sur la table. Il appuya sur un bouton et entendit une chanson des années 80.
Kurt commença et finit son petit-déjeuner en quelques minutes. Il lava sa vaisselle puis remonta dans sa chambre. Il se laissa tomber sur le lit et ferma les yeux, essayant de voir à quoi sa vie ressemblerait sans sa particularité, comme disait les autres. Il sombra dans un profond sommeil...